La gestion de Crise à la SNCF, le lancement
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La gestion de Crise à la SNCF, le lancement
"Lu, entendu, «télévisionné» un peu partout ce matin, notamment ici.
Envisager le «scénario du pire» et améliorer l'information aux voyageurs sont les deux réflexes que Anne-Marie Idrac souhaite voir adopter au sein de l'entreprise : « J'ai demandé que soit adopté, même si c'est difficile, comme réflexe, celui du scénario du pire, c'est-à-dire que nous ne pêchions plus par excès d'optimisme, comme au moment de l'incident du 16 juillet lié à la foudre qui a provoqué d'importants retards sur le trafic ferroviaire. »
Faisant état d'un « tâtonnement marqué par un optimisme excessif », la présidente de la SNCF a expliqué que les équipes avaient eu du mal à établir un diagnostic le 16 juillet. Les voyageurs n’avaient pas été informés et les procédures de gestion de crise ont été déclenchées trop tardivement.
Je ne suis pas certaine que la meilleure technique de communication de crise soit le scénario du pire, comme ce qui est préconisé par la présidente de la SNCF -si je la comprends bien- mais le scénario du plus juste.
De la même façon qu’il ne sert à rien d’avancer son réveil de 5 minutes puis de retrancher 5 minutes à l’heure affichée, le pessimisme à son paroxysme ne me semble pas nécessaire : mieux vaut dire ce qui est le plus probable (avec justesse, sans optimisme extravagant) que ce qui est le plus à craindre. Il ne s’agit pas de se voiler la face, simplement d’être le plus précis et le plus juste possible."
Avis copier coller d'une internaute sur le forum d'easybourse.
Envisager le «scénario du pire» et améliorer l'information aux voyageurs sont les deux réflexes que Anne-Marie Idrac souhaite voir adopter au sein de l'entreprise : « J'ai demandé que soit adopté, même si c'est difficile, comme réflexe, celui du scénario du pire, c'est-à-dire que nous ne pêchions plus par excès d'optimisme, comme au moment de l'incident du 16 juillet lié à la foudre qui a provoqué d'importants retards sur le trafic ferroviaire. »
Faisant état d'un « tâtonnement marqué par un optimisme excessif », la présidente de la SNCF a expliqué que les équipes avaient eu du mal à établir un diagnostic le 16 juillet. Les voyageurs n’avaient pas été informés et les procédures de gestion de crise ont été déclenchées trop tardivement.
Je ne suis pas certaine que la meilleure technique de communication de crise soit le scénario du pire, comme ce qui est préconisé par la présidente de la SNCF -si je la comprends bien- mais le scénario du plus juste.
De la même façon qu’il ne sert à rien d’avancer son réveil de 5 minutes puis de retrancher 5 minutes à l’heure affichée, le pessimisme à son paroxysme ne me semble pas nécessaire : mieux vaut dire ce qui est le plus probable (avec justesse, sans optimisme extravagant) que ce qui est le plus à craindre. Il ne s’agit pas de se voiler la face, simplement d’être le plus précis et le plus juste possible."
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